Tout dépend du support !

Des bois locaux

La première étape consiste à choisir le bon matériau, car tous les bois ne sont pas également appropriés. La prudence est de mise surtout lors du revêtement de bois riches en résine tels que le mélèze : il se peut que, par endroits, le revêtement ne pénètre pas assez profondément dans le bois, ce qui n'est pas juste inesthétique, mais nuit aussi à l'effet de protection du bois. Ainsi, les bois de conifères locaux (sapin et épicéa) constituent le meilleur choix : ils sont moins denses, de sorte que la lasure peut pénétrer en profondeur dans le bois. De plus, ces bois peuvent provenir d'une exploitation locale durable sans nécessiter de longs trajets de livraison et sont aussi économiques. « Si le bois présente des dépôts de résine, ils peuvent être enlevés avec les produits sans composants aromatiques ADLER Nitroverdünnung ou ADLER Wasch-Verdünnung », conseille M. Unterberger.

Coquille brute

Rabotés ou brossés, fendus ou bruts de sciage, les bois pour façades sont proposés en de nombreuses variantes. Mais laquelle est la meilleure ? Pour Martin Unterberger, l'affaire est claire : « Plus la surface est brute, plus le revêtement peut pénétrer dans le bois. Cela assure un bel aspect et améliore l'effet de protection du bois. » Alors que le rabotage non seulement lisse le bois, mais le compacte aussi souvent, le bois brut de sciage offre une « surface d'attaque » maximale pour le revêtement. Du reste, une surface brute de sciage est particulièrement belle avec des lasures à effet telle que Pullex Platin d'ADLER : les reflets des pigments métalliques, qui confèrent au bois un aspect tendance, sont ainsi mis en valeur. Pour un aspect rustique, le bois peut aussi être brossé ou fendu. Si l'on souhaite une surface rabotée, la capacité d'absorption du bois peut être améliorée par des micro-cannelures.

Bien peint

Une fois le support préparé et toute la poussière de ponçage enlevée, il est temps de passer au revêtement. Pour un résultat optimal, le bois doit être suffisamment sec pour qu'il puisse absorber le matériau de revêtement de manière optimale. « Une humidité du bois inférieure à 15 % est idéale. La règle d'or : après un jour de pluie, attendre au moins trois jours avant de peindre », explique M. Unterberger. À propos de la peinture : les lasures pour bois d'ADLER sont appropriées pour tous les processus de revêtement habituels, de l'arrosage et du trempage au Vacumat, les meilleurs résultats étant toutefois obtenus grâce à la peinture à la machine ou à la main, car le revêtement pénètre alors en profondeur dans le bois.

Un vaste choix

La seule question qui reste est : quel revêtement appliquer sur le bois ? Chez ADLER, les peintres ont l'embarras du choix, car les produits Lignovit à base aqueuse et Pullex à base de solvants offrent un vaste choix pour tous les domaines d'application : des systèmes 3 en 1 efficaces, des lasures à effet et de grisaillement tendance, des revêtements écologiques et durables sans protection chimique du bois. En cas de doute, les consultants en architecture et les représentants techniques d'ADLER ont la recommandation adéquate et aident également à choisir la teinte qui convient. Selon le support, la couleur sur le bois peut en effet avoir un aspect différent de celle du nuancier : le bois brut de sciage absorbe davantage le revêtement, ce qui crée une accumulation de pigments colorés et rend la couleur plus foncée. D'où le conseil de Martin Unterberger : « Testez la lasure sur une petite surface ou réalisez un échantillon sur le bois original afin de constater la teinte exacte. » Ainsi, tout est préparé pour un résultat de revêtement optimal et, avec les produits de haute qualité d'ADLER, c'est la garantie d'une belle surface, protégée durablement !

ADLER – Dans nos veines coulent les couleurs

Avec 630 travailleurs, ADLER est le fabricant autrichien numéro 1 de vernis, peintures et produits de protection du bois d'Autriche. Fondée en 1934 par Johann Berghofer, l'entreprise familiale est aujourd'hui dirigée par Andrea Berghofer, qui représente la troisième génération. Chaque année, l'usine de Schwaz livre 18 000 tonnes de vernis à des clients issus de plus de 25 pays dans le monde. ADLER a des sociétés de distribution en Allemagne, en Italie, en Pologne, aux Pays-Bas, en Suisse, en République tchèque et en Slovaquie ; son seul site de production est l'ADLER-Werk Lackfabrik à Schwaz, dans le Tyrol (A). En 2018, ADLER est devenue l'une des premières entreprises de son secteur à être 100 % neutre sur le plan climatique. ADLER a réduit au minimum son empreinte écologique grâce à une multitude de mesures. ADLER compense les émissions résiduelles inévitables grâce à des certificats de protection du climat reconnus et contribue ainsi au financement de nouveaux projets de protection du climat.